Là je renforce bien le moment où toi tu redescends dans les octaves, c'est ça ?
Guillaume : Dès le couplet 4, tu joues la basse, ok ?
Guillaume : C'est un master de musique, musicologie, avec une forte dominante de pratique musicale ou de composition, de création puisqu'ici on on vise à former des des créateurs, mais qui soient aptent à rentrer dans le monde professionnel. On a aussi un master qui est plus recherche et ici je travaille plutôt avec les étudiants du master CMS (création musical et sonore).
Garance : Moi j'ai choisi de faire ces études parce que j'avais envie d'avoir du temps pour composer. Au départ je pensais plus faire de la recherche et au final je me suis dit que j'avais vraiment envie d'avoir du temps pour pour créer, pour faire de la musique.
Vivien : J'ai toujours eu envie d'apprendre plus dans la création, la production musicale.
Guillaume : Nous on te suit en fait. C'est toi et nous on te suit.
Vivien : Il faut être détendue et ça c'est pas facile si on est stressée ou qu'on a peur de la performance.
Guillaume : Le prétexte c'est simplement de rejouer un album qui est sorti il y a 50 ans. On joue un album de 1974, de Robert Wyatt, qui s'appelle Rock Bottom. C'est un album assez psychédélique et poétique aussi.
Rivera : Je viens au États-Unis mais j'ai grandi au Mexique. J'ai fait ma licence à Boston à Berklee. Après je voulais continuer mes études et comme je connaissais un peu le français, j'ai vu qu'à Paris 8 c'était cool.
Eliot : La pratique instrumentale m'a fait grandir parce que ça demande une exigence particulière. C'est très personnel mais au niveau corporel en fait ça demande une grande précision corporelle et une grande conscience du corps.
Guillaume : Au niveau du master il y a des stages qui sont obligatoires, qui fonctionnent avec une convention, ce qui permet à nos étudiantes de rapidement aller sur le terrain et ne pas rester uniquement dans le confort des salles de cours.
Augustin : J'ai fait un stage dans un label de musique, qui est aussi tourneur, donc tourné vers la musique du monde. L'avantage, comme beaucoup de label des petites structure, c'est qu'on pouvait toucher un peu à tout.
Garance : J'ai plusieurs idées, j'aimerais bien être saxophoniste interprète et à côté je compose aussi. Je travaille un peu la musique avec des enfants aussi.
Vivien : J'aimerais bien travailler dans la composition, la production ou la performance de musique.
Rivera : Après les études, j'aimerais pouvoir créer des partitions, jouer sur scène, être musicien de studio.
Augustin : Moi j'aimerais plus m'orienter dans la recherche. Contrairement aux autres, je suis dans dans le master qui est plus institué recherche, théorie et pratique de la musique.